Petra Schindler-Carter, directrice des ventes d’Amazon Marketplace, a déclaré par voie de presse : « l’introduction de notre boutique de produits imprimés en 3D annonce le début d’une transition dans le commerce en ligne – le processus de fabrication peut se faire plus agile qu’il ne l’est afin de procurer une expérience plus captivante au client ». On imagine surtout pour une société comme Amazon, où la logistique est vraisemblablement le poste de dépenses le plus conséquent, quel impact ce cheminement alternatif de la production peut avoir. Certes, Amazon n’imprime pas (ou pas encore ?) directement et le système ainsi ficelé n’autorise pas le client à uploader ses propres créations 3D. Mais si la mayonnaise prend, il y a fort à parier qu’Amazon passera le cap suivant, en contrôlant sa propre production d’objets 3D, la technologie étant à la portée d’une société aussi puissante, soit directement, soit par voie de rachat.

Voici ce que vous devez absolument savoir concernent les nouveaux textes encadrant rétractation et le renvoi d’un bien acheté sur internet.

Comme vous le savez peut-être déjà, les règles qui encadrent le commerce en ligne en France ont changé depuis le vendredi 13 juin. A compter de cette date, est entrée en vigueur les dispositions d’une directive du Parlement Européen, datant de 2011 et relative aux droits des consommateurs. Cela se fait par le biais de la loi du 17 mars, relative à consommation. En tant que consommateurs en ligne, il est important de connaitre ses nouveaux droits et surtout les nouveaux délais concernant la rétractation, le retour de marchandises et le remboursement.

Se rétracter, renvoyer un article et se faire rembourser

Désormais, pour un contrat conclu à distance ou hors établissement, le consommateur dispose d’undélai de quatorze jours pour jouir de son droit de rétractation, à compter du jour de signature du contrat, dans le cas d’une prestation de service, à compter du jour de réception du bien par le consommateur (ou quelqu’un d’autre désigné par celui-ci) ou bien à compter du jour de réception du dernier colis, si le bien est constitué de plusieurs parties livrées séparément.

En ce qui concerne l’action de se rétracter, voici ce que dit le nouveau texte :

« Art. L. 121-21-2.-Le consommateur informe le professionnel de sa décision de rétractation en lui adressant, avant l’expiration du délai prévu à l’article L. 121-21, le formulaire de rétractation mentionné au 2° du I de l’article L. 121-17 ou toute autre déclaration, dénuée d’ambiguïté, exprimant sa volonté de se rétracter.

Le professionnel peut également permettre au consommateur de remplir et de transmettre en ligne, sur son site internet, le formulaire ou la déclaration prévue au premier alinéa du présent article. Dans cette hypothèse, le professionnel communique, sans délai, au consommateur un accusé de réception de la rétractation sur un support durable.

La charge de la preuve de l’exercice du droit de rétractation dans les conditions prévues au présent article pèse sur le consommateur. »

Les nouveaux textes tendent également à séparer les actions de se rétracter et de renvoyer le bien. Ainsi, après avoir exprimé son désir de rétractation, le consommateur doit restituer le bien dans un délai maximum de quatorze jours. Le consommateur dispose donc d’un délai maximal de 28 jours pour se rétracter et renvoyer le bien. Autrefois, ce délai était de 7 jours.

Quant au délai de remboursement par le professionnel (dont les frais de livraison), il passe de trente jours à quatorze jours, « à compter de la date à laquelle il est informé de la décision du consommateur de se rétracter». Le moyen de paiement est le même que celui utilisé par le consommateur. En cas de retard du remboursement, la somme à verser au consommateur est majorée, une majoration qui peut atteindre les 50 %. Pour en savoir plus sur les nouvelles règles relatives aux droits des consommateurs, vous pouvez également consulter les nouveaux textes, sur Legifrance.

&Tweet

Parrot à très bien négocier le virage technologique que sont les drones, mais à l’époque , l’entreprise s’intéressait surtout à la reconnaissance vocale à ses débuts, dans les années 90. Elle produisait même des kits mains libres pensés pour les automobilistes et c’est d’ailleurs toujours le cas puisqu’elle compte un dispositif de ce type à son catalogue, soit le MINIKIT Neo.

Le premier drone de la société est arrivé sur le marché en 2010 et il a finalement beaucoup contribué à la démocratisation de ces appareils. Aujourd’hui, elle remet le couvert avec un nouveau modèle des plus prometteurs, le Bebop Drone.

Ce quadricoptère reprend en grande partie les caractéristiques de son prédécesseur, avec quelques ajouts notables, dont l’intégration d’une caméra (14 millions de pixels, champ de vision de 180°) capable de capturer des photos et d’enregistrer des vidéos en Full HD 1080p. Il ne sera donc plus nécessaire d’investir dans un équipement supplémentaire pour immortaliser ses plus beaux vols.

Le Bebop ne s’arrête pas là et il a également la bonne idée d’embarquer un GPS et une batterie de plus grande capacité. Attention cependant à ne pas vous réjouir trop vite car son autonomie reste limitée à 12 minutes, et pas une de plus.

Le drone sera compatible avec les applications mobiles éditées par le constructeur et il pourra également fonctionner avec un contrôleur spécial se présentant sous la forme d’un dock doté de deux manettes : le Skycontroller. Si ce dernier améliorera la prise en main du Bebop Drone, il augmentera également la portée du signal de deux kilomètres.

Last but not least, le Parrot Bebop sera aussi compatible avec le casque Oculus Rift, pour encore un peu plus d’immersion et sans doute aussi quelques hauts de coeur. De beaux moments en perspective, en somme.

Aucune info sur le prix ni sur la date de sortie de l’appareil, du moins pas pour le moment.

Merci à Presse-citron.

&Tweet

Entre la Banque Centrale Chinoise qui indiquait le 11 avril qu’elle n’interdira finalement pas Bitcoin (au contraire de la Russie, ou de la Banque Australienne), Amazon qui annonçait 3 jours plus tard refuser les bitcoins sur ses services, et la récente mise en liquidation judiciaire de la plateforme MtGox : l’actualité autour de la plus célèbre des monnaies électroniques ne se tarit pas. Face à tous ces événements, qui vont pour certains dans le sens d’un développement de cette monnaie, d’autres visent au contraire à l’interdire ou à le contrôler.

De grandes entreprises commencent à montrer leur intérêt pour ce système. Monoprix, vient par exemple d’annoncer que les paiements en bitcoin seront acceptés sur son site dès la fin de l’année 2014. Certes, de l’aveu même de Patrick Oualid (le directeur de l’e-commerce de Monoprix), le but n’est pas de développer significativement le chiffre d’affaires de l’enseigne, mais « d’apprivoiser » cette nouvelle façon de payer. Ainsi, si Bitcoin se développe de façon importante à l’avenir, l’enseigne sera prête. Et quoi qu’il advienne, l’opération est d’ores et déjà bénéfique pour Monoprix : la médiatisation a été importante, c’est un véritable « coup de com ».

Pour autant, n’y a-t-il qu’un intérêt marketing pour les entreprises à gérer aujourd’hui Bitcoin ? Le but n’est-il d’obtenir que de la visibilité dans les médias, et d’afficher une image de novateur ? Y a t-il un intérêt réellement business à accepter des paiements en bitcoin ? Tout dépend pour l’entreprise de la profondeur d’intégration du système Bitcoin dans son business model. Mais comme il n’y a pas deux entreprises qui se ressemblent, voici les avantages et inconvénients pour les professionnels à gérer les paiements en bitcoin.

Dans le BtoB, les intérêts sont réels pour les entreprises et les transferts à l’international, à destination des filiales ou des prestataires : les coûts sont nuls, et les transferts sécurisés. C’est tout l’intérêt d’utiliser une monnaie décentralisée qui ne dépend d’aucun émetteur, d’aucune structure bancaire.

Dans le domaine BtoC, si on peut trouver un intérêt pour les entreprises (faible coût des transactions, assurance d’être payé…), l’intérêt pour le client est plus discutable. Le système mis en œuvre par les banques est facile d’utilisation et bien sécurisé, le coût des transactions est supporté par le commerçant, et les banques assurent les épargnes : pourquoi changer pour Bitcoin ? Une des clés du succès du Bitcoin tiendra dans son acceptation par le grand public.

Dans ce sens, la démarche initiée par Monoprix semble bonne : une intégration Bitcoin faible dans le business model avec une courbe d’apprentissage, les risques sont ainsi minimisés. Et si Bitcoin rencontre le succès à l’avenir, il sera plus facile pour les entreprises ayant déjà tenté l’expérience de développer leur système et de monter en charge, plutôt que de commencer de zéro.

Source : Clubic !

&
Tweet

Le FingerReader est un anneau intelligent doté d’une caméra et d’un algorithme de reconnaissance des mots ultra puissant. Il va très vite devenir l’objet connecté indispensable des personnes malvoyantes.

Fluid Interface Groupe est l’entreprise du MIT à la tête de ce projet.  Documents papier, livres et même les tablettes kindle sont lisibles par cet objet.

Comment ça fonctionne ? Une caméra filme le texte et l’envoie au logiciel qui va se charger de simuler les lignes du livre. Ensuite le logiciel lance une recherche mot à mot puis une fois le mot identifié, celui-ci est oralement dicté à l’utilisateur.

Simulation des lignes, reconnaissance mot à mot et dictée vocale !

Il fait parti des nombreux projets du MIT que vous pourrez trouver en cliquant sur l’image ci-dessous mais le projet qui a retenu toute mon attention est bien le FingerReader.

J’espère qu’il aura la chance de se concrétiser, voici la vidéo de présentation:

FingerReader – Wearable Text-Reading Device from Fluid Interfaces on Vimeo.
Que pensez-vous de cet objet ?

&
Tweet

Le réseau de communications par satellite Iridium a une couverture mondiale et dispose de plus de  66 satellitesplacés en orbite autours de la Terre pour assurer un niveau de communication équivalent où que vous vous trouviez.

Le système Iridium est principalement dédié à la voix en mode mobile (avec un téléphone satellite) et à l’échange de fichiers légers par mail (en connectant le téléphone à l’ordinateur) comme par exemple des fichiers Grib pour la météo en mer.

 Couverture Iridium

IRIDIUM : Pour utiliser le sytème de télécommunications iridium il vous faudra :

1. Un téléphone satellite Iridium 9555 ou 9575 Extreme ou 9505A . Les téléphones iridium 9555 et 9575 Extreme on des kit data intégrés.
   • Les modèles 9555 et 9575 Extreme sont en vente chez Nauticom dans la catégorie Téléphones satellite Iridium.
   • Le téléphone satellite Iridium sont également proposé en location à la semaine : une alternative parfaite pour les utilisateurs occasionnels de téléphonie par satellite.
   • L’Iridium 9575 Extreme possède aussi une fonction tracking et une fonction SOS par satellite qui est liée à un abonnement spécifique auquel il faut sourscrire en supplément si vous souhaitez beneficier de ces services.
2. Une carte SIM Iridium , il en existe principalement 2 types :
   • Carte SIM Pré-payée Iridium : une carte SIM pré-payée sur laquelle vous pourrez activer des recharges de communication Iridium au fur et à mesure de vos besoins (voir la rubrique Communications Iridium). Vous pourrez aussi en option opter pour une Carte SIM Iridium SKYFILE qui vous permettra d’avoir une adresse e-mail spécifique.
   • Abonnement Iridium : il s’agit d’un accès d’un an au réseau Iridium, les communications sont facturées en plus chaque mois. Cette formule est parfaite pour les personnes qui doivent pouvoir se connecter à l’improviste à n’importe quel moment et ne peuvent pas surveiller leur consommation d’unités de communication.
3. Du temps de communication : pour la carte SIM Pré-payée Iridium il s’agit de recharges de communications avec une certaine quantité d’unités et une validité définie à l’achat.

Sur le réseau Iridium il est possible d’envoyer gratuitement des SMS depuis le site internet Iridium vers un téléphone satellite Iridium (message gratuit pour l’expéditeur et pour le destinataire possésseur du téléphone satellite).

 Envoyez des sms gratuitement depuis le site Iridium

 Informations et tarifs communications Iridium

THURAYA : Le réseau de communications par satellite Thuraya est composé de 3 satellites en orbite autours de la Terre et couvre l’Europe, l’Afrique (la couverture s’arrete au sud d’une ligne Angola, Zambie, Zimbabwé, Mozambique), le Moyen Orient, l’Asie et l’Australie.
Ce réseau de télécommunications est plus adapté aux raids 4×4 qu’à la navigation en bateau (il ne couvre pas l’Atlantique et il faut être immobile pour l’utiliser de manière optimale).
Le système Thuraya est destiné principalement à la voix en mode mobile (avec un téléphone satellite Thuraya) et à la data (téléchargement d’emails ou de fichiers météos GRIB).

Pour utiliser le réseau Thuraya il faut :

1. Un téléphone satellite Thuraya SO-2510 , ThurayaSG-2520 ou un Thuraya XT (le dernier modèle)
2. Une carte SIM prepay Thuraya ou une SIM d’abonnement (abonnement annuel avec minutes de communications facturées en sus comme pour Iridium)
3. Des unités de communication : il s’agit également de recharges avec une quantité d’unités et une validité.

Il est difficile d’établir une liste de tarifs pour lescommunications Thuraya car la tarification dépend du pays où le téléphone satellite Thuraya se trouve et du pays destinataire de l’appel (à titre purement indicatif on peut compter environ 2€ pour une minute de communications vers un téléphone fixe).

 Couverture Thuraya
INMARSAT : Le réseau Sateliite Inmarsat a unecouverture mondiale hors pôles sud et pôle nord.

Il est couvert par 11 satellites qui assure une couverture terrestre et maritime. Inmarsat specialiste de l’echange de donnée au haut débit avec les Fleet Broadband a lancé sontéléphone satellite inmarsat ISATPHONE PRO . Ce téléphone a un kit data intégré permettant de le connecter directement au PC pour faire du transfert de fichiers légers ou de l’e-mail.

Pour l’utiliser il vous faudra une carte SIM inmarsat desrecharges Inmarsat  pouvant aller de 10 unités / minutes à plus de 5000 unités / minutes. Vous pourrez choisir entre les cartes SIM Inmarsat prépayées avec des forfaits prepayés en minutes ou des cartes SIM post payées liées à un abonnement.

Vous pourrez aussi disposer de l’option Skyfile pour la carte SIM et les recharges inmarsat. De nombreux accessoires sont disponible comme la station d’acceuil et l’antenne extérieure tres apréciable pour une utilisation à bord d’un vehicule ou d’un bateau.

Comme pour Iridium vous pourrez avec Inmarsat envoyer gratuitement des SMS via leur site. Seules les communications emises sont deduites sur les forfait les communication recu sont payées par l’émétteur de la communication.

Carte SIM standard ou Skyfile :

Sachez que lorsque vous choisirez votre carte SIM Iridium ou Inmarsat vous aurez le choix pour votre SIM entre le format standard (Iridium ou Inmarsat) ou le format Skyfile commercialisé par Vizada. Si vous optez pour une SIM Skyfile vous devrez ensuite prendre des recharges Skfyile.
Le Skyfile sera surtout utile si vous utiliser votre téléphone satellite en modem pour télécharger vos e-mail ou desfichiers méteo par exemple. Il vous permettra d’une part de créer une adresse e-mail dediée et d’autre part, grâce a son procedé de compression des données, et d’autre part améliorera la fluidité lors des téléchargements ce qui raccourcira le temps de transferts donc les temps de communication.

Après le 3210, c’est au tour du Nokia 3310 de faire son apparition dans la collection Technicolor de Lëkki. Le terminal, sorti en 2000, est sans doute l’un des plus emblématiques de la firme finlandaise. Souvent qualifié d’indestructible en raison de sa forte résistance aux chocs, il est doté d’un écran en noir et blanc de 84 x 48 pixels et de plus de 35 sonneries polyphoniques. La grande classe.

Les nostalgiques ou ceux qui n’ont pas eu le plaisir de s’adonner à l’un des quatre jeux proposés sur le terminal – dont le fameux Snake II, assurément un must play – peuvent désormais se rattraper. Il faut compter 80 euros pour acquérir un Nokia 3310 chez Lëkki, reconditionné et customisé au niveau du coloris. Quand on sait que certains téléphones mobiles récents de Nokia, à l’instar du Nokia 100 – Noir, valent moins de 25 euros nus, il s’agit d’un choix vraiment engagé !

Si l’impression 3D a beaucoup fait parler d’elle à travers le prisme du contrôle des armes à feu, dans la mesure où certains utilisateurs d’imprimantes tridimensionnelles se sont distingués en contribuant à la réalisation de copies d’armes (essentiellement des pistolets, quelques rares fusils d’assaut), cette technique de fabrication offre heureusement d’autres perspectives à la société.

Dans le domaine médical, l’impression 3D a déjà un intérêt concret. Le magazine Wired signale en effet que des neurochirurgiens de l’université d’Utrecht (Pays-Bas) ont remplacé la moitié supérieure du crâne d’une patiente âgée de 22 ans par une prothèse en plastique. Celle-ci a été imprimée en 3D, en prenant en compte les dimensions exactes du crâne de la patiente.

Selon les explications fournies par l’université, la jeune femme souffre d’une maladie osseuse qui a augmenté l’épaisseur de son crâne de 1,5 à 5 centimètres. Résultat, la pression exercée sur le cerveau générait des maux de tête épouvantables et affectait le champ de vision. Selon l’équipe médicale, l’opération était indispensable car certaines fonctions cérébrales étaient en péril.

L’opération elle-même s’est déroulée il y a trois mois et a mobilisé les chirurgiens pendant 23 heures. IL s’agit d’une première mondiale et une réussite, car l’opération s’est bien passée tout comme le traitement post-opératoire. L’équipe considère que l’utilisation d’une prothèse en plastique imprimée en 3D se fera dans d’autres cas de figure, comme les accidentés.

Dans une note, l’organisme précise qu’il n’est pas question pour lui : «de stigmatiser la collecte stricto sensu de données par les entreprises : elles peuvent avoir une utilité (comparateurs, mémorisation d’une commande…). Non, la véritable question a trait à l’information des intéressés sur la collecte, la finalité de cette utilisation et les moyens de la contrôler ».

L’association demande donc à ce que ces géants du web optimise « l’information sur l’emploi par tous de nos données et les moyens d’en garder le contrôle ». Son objectif est donc d’obliger ces sociétés à rendre leurs conditions d’utilisation plus claires, lisibles et compréhensibles pour les internautes. Elle regrette par exemple que celles-ci soient « toujours aussi inaccessibles, illisibles, remplies de liens hypertextes, entre 40 et 100 liens hypertextes, renvoyant parfois à des pages en langue anglaise.»

Certains services, comme Facebook, ont déjà tenté de simplifier leur approche via une page dédiée à leur politique de gestions des informations. Toutefois, pour l’association de défense des consommateurs, ce type d’initiative n’est pas suffisant. Elle demande par exemple à ce que les réseaux sociaux détaillent clairement leur stratégie en matière de ciblage publicitaire.

Certaines sont des anciennes méthodes remises au goût du jour mais d’autres sont de véritables chefs d’oeuvres de leurres.

Voici quelques conseils pour sécuriser votre surf.

Les chaines de Mail :
- Utilisation des emails pour spam
- Virus dans les PowerPoint Humoristique
- Divulgation de mauvaises données ou de fausses rumeurs.
Description : Les fichiers Word ou PowerPoint – les fameux diaporamas en .PPS –sont des « mules » à malware depuis de nombreuses années. Du côté des fichiers PDF, ils peuvent être utilisés par des pirates pour exploiter les failles du logiciel Adobe Reader, souvent mis à jour par l’éditeur pour corriger des problèmes de sécurité. En cas d’infection, les problèmes varient et l’utilisateur peut être notamment confronté à une recrudescence d’affichage publicitaire non désiré (les adwares) ou des situations plus graves entraînant l’effacement de données de la machine ou la récupération de données personnelles, via un enregistreur de frappe, par exemple. Dans tous les cas, les risques sont suffisamment grands pour motiver à ne pas ouvrir une pièce jointe de source inconnue – et d’arrêter, au passage, de la faire voyager par email !

Les faux sites officiels:
- Se faire passer pour Samsung ou Apple et voler des données personnelles et surtout des Login/mot de passe.
- Débloquer des abonnements mensuels automatiques auprès de votre fournisseur d’accès Internet.  8 à 12 euros / mois
Description : L’hameçonnage, également connu sous son nom anglais phishing, est un type de spam très répandu. Il consiste en l’envoi massif d’un message demandant aux destinataires de remplir un formulaire pour une raison précise. Cette dernière peut concerner une fausse fraude bancaire, une loterie, une demande d’information anodine à fournir à son fournisseur d’accès à Internet… dans tous les cas, le message est destiné à provoquer une réaction rapide de l’internaute pour le pousser à agir vite. Inquiet ou attiré par l’appât du gain, l’internaute clique, donne des informations personnelles qui peuvent aller d’une adresse email à des coordonnées bancaires, et communique ainsi aux pirates de précieuses informations.

Les Programmes malveillants :
- Faux programmes officiels contenant des virus.
- Minage de BitCoin caché qui va énormément ralentir la machine.
- Des zombies qui contrôlent votre machine durant les temps de veille pour récupérer vos données personnelles.

Les Barres d’outils malveillantes sur vos navigateurs Internet:
- Souvent obtenues sur les sites de Streaming , Porno ou encore de Sport en ligne.
- Absorption des mots de passes mail – Facebook – Twitter…
- Ralentissement de la vitesse d’affichage des pages.

Conseils pour éviter les arnaques :
- Recouper les informations en les vérifiant sur d’autres sites, plus l’info est répétée, plus zllz est crédible.
- Consulter des sites spécialisés sur les arnaques Internet comme HoaxBuster.com
- Faire des scans anti virus et mettre à jour votre logiciel Antivirus.
- S’assurer de ne pas avoir de nouvelles barres d’outils sur son navigateur Internet.