Adoptez l'attitude proactive d'un entrepreneur et abandonnez une mentalité de salarié qui souhaite se "reclasser", se "repositionner" !
Privilégiez un domaine d’activités que vous connaissez et que vous aimez,
Choisissez votre entreprise-cible par rapport à vos attentes, vos compétences, et en fonction de vos capacités financières,
Ne vous découragez pas trop rapidement. Vous devrez étudier plusieurs projets de reprise avant d’aboutir. Entre le premier contact et la signature de l’acte, il pourra s’écouler entre 3 et 18 mois,
Effectuez le diagnostic financier, fiscal, social, de l’entreprise cible. Le prix d’achat et ses conditions en dépendent, ainsi que la viabilité de votre projet à moyen et long terme,
Entourez-vous de conseillers lors des différentes étapes de votre projet,
Recueillez l’adhésion de votre entourage à votre projet,
Comblez vos lacunes éventuelles (en gestion, en informatique…) par une formation avant la reprise,
Nouez des relations de confiance avec le cédant. Rassurez-le sur vos motivations, œuvrez à le convaincre que vous êtes le repreneur idéal.
Adhérez à un club ou une association pour rompre la solitude du repreneur.
Ce qu’il ne faut pas faire
Racheter une entreprise en difficultés en croyant investir moins ; il vous faudra réinjecter des capitaux pour redresser l’affaire,
Mettre tous vos fonds disponibles dans la reprise du capital. Gardez-en pour la suite !
Reprendre dans un secteur totalement méconnu de vous,
Négliger les difficultés d’implantation dans une région nouvelle,
Vouloir aller trop vite,
Se limiter à un audit incomplet de l’entreprise à reprendre en espérant faire des économies,
Ignorer la culture de l’entreprise, ou pire : critiquer ouvertement le mode de gestion et de management du cédant.